Mardi 15 décembre 2015, 10h00-12h00.
Séminaire de François Vigneau, Professeur, École de psychologie (Université de Moncton, Canada).
Les cas des matrice de Raven et du test de rotation mentale.
L’étude des tests d’intelligence comporte habituellement un travail d’identification de dimensions, que ce soit dans le cadre d’une démarche factorielle, où l’on identifie alors des aptitudes (Carroll, 1993), ou dans une perspective cognitiviste, où il s’agit alors d’associer la mesure à l’un ou l’autre des aspects d’un traitement cognitif. Les deux types de démarches conduisent à des conceptions « spécialisées » des tests examinés. Ainsi, le test des matrices de Raven (Raven, 1962) est décrit comme un test du facteur g d’intelligence (ou un test de la capacité de la mémoire de travail) et le test de rotation mentale de Vandenberg et Kuse (1978) est présenté comme une épreuve de visualisation spatiale (ou de rotation mentale). En savoir plusPSYCLÉ Centre de Recherche en Psychologie de la Connaissance, du Langage et de l’Émotion